Sortir de sa zone de confort
Pour moi, ma zone de confort est la photographie de portrait. Je me sens bien lorsqu’un être humain est devant ma lentille.
Pour moi, ma zone de confort est la photographie de portrait. Je me sens bien lorsqu’un être humain est devant ma lentille.
La meilleure comparaison que je peux trouver serait le karaté. Le titre de maître photographe est un peu comme la ceinture noire et les barres comme les Dan obtenus par la suite de l’obtention de cette ceinture. Sauf qu’il y a moins de chance que je recoive des taloches bien sûr 🙂
Cette entrevue soulignait le prix national Yousuf Karsh et le prix du photographe portraitiste canadien de l’année 2023.
J’ai toujours beaucoup de plaisir lorsque je vais à la ferme.
Quelle année! Recevoir le titre du photographe portraitiste de l’année et le prix national Yousuf Karsh et maintenant, apprendre que je fais partie de l’équipe canadienne pour le World Photographic Cup, c’est vraiment fantastique!
« Claude Brazeau is a talented photographer who has made a significant impact on the photography industry in Canada. »
Une intéressante discussion ces temps-ci avec des amis photographes : Est-ce que ça vaut encore la peine de faire de « vraies » photos où on doit tout préparer physiquement, comme cette photo où on a transporté un canot en plein milieu d’un champ?
Quel plaisir et quel honneur de recevoir cette reconnaissance de la part des photographes professionnels du Canada.
Difficile de dire comment on se sent lorsqu’on reçoit un prix comme le Yousuf Karsh, une des plus importantes reconnaissances offerte aux photographes professionnels canadiens et recevoir en même temps le titre de photographe portraitiste de l’année au Canada est pour moi, un très grand honneur.
Deux « Best in Class » et une collection permanente canadienne à la compétition nationale des ppoc.