Quel superbe congrès!
De retour de Victoria avec la tête pleine d’idées et le coeur plein de reconnaissance.
De retour de Victoria avec la tête pleine d’idées et le coeur plein de reconnaissance.
J’aime beaucoup me retrouver au milieu d’un groupe d’artistes. Le weekend dernier, j’ai vraiment été très gâté!
Une petite visite chez l’ami Carl pour voir les paons en pleine éclosion et les nouveaux petits chevreaux. Que de beauté et quel bonheur!
J’adore donner des conférences. Que ce soit dans les clubs de photographie locaux comme le club Polarisé de l’Outaouais, le pixeliste ou le Ottawa Camera Club ou dans les écoles pour les journées carrières.
Je crois qu’ il y a deux côté à la photographie. Le côté technique et le côté artistique. Nous sommes à la base, des opérateurs d’appareil photo et cette partie se doit d’être maitrisée parfaitement si on veut amener notre art au sommet.
Après avoir reçu le titre de photographe de mariage de l’année en 2017 et le titre de photographe portraitiste de l’année en 2023, la suite était logique.
La première fois qu’un client potentiel voit votre visage, c’est probablement en photo, soit sur les médias sociaux ou soit via une annonce publicitaire dans un journal ou sur une affiche extérieure. Il va sans dire que si cette photo n’est pas de bonne qualité, ça va se réflèter sur votre professionnalisme.
Un portrait réussi devrait nous faire connaître le sujet suffisament pour vouloir en savoir plus sur lui. L’utilisation d’une lumière, une pose et un environnement qui met en valeur sa personnalité et ses traits uniques
La meilleure comparaison que je peux trouver serait le karaté. Le titre de maître photographe est un peu comme la ceinture noire et les barres comme les Dan obtenus par la suite de l’obtention de cette ceinture. Sauf qu’il y a moins de chance que je recoive des taloches bien sûr 🙂
Cette entrevue soulignait le prix national Yousuf Karsh et le prix du photographe portraitiste canadien de l’année 2023.